« On n’est pas autistes », Léa Salamé, nouveau gros scandale en plein JT de 20 heures sur France 2




Résumé

Nouveau couac au JT de 20 heures sur France 2 mais, cette fois, la rédaction n’y est pour rien ni même Léa Salamé. En cause : les propos tenus par le nouveau ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou.

Sommaire

Le 1er septembre dernier, Léa Salamé a fait son apparition au JT de 20 heures sur France 2. Un défi de taille pour celle qui a quitté France Inter tout en conservant la présentation du magazine « Quelle époque ! ». En effet, la journaliste de 45 ans a été appelée par la patronne de France Télévisions, Delphine Ernotte, pour succéder à Anne-Sophie Lapix. Mais s’attendait-elle à être autant scrutée ? Depuis sa première édition, rien n’échappe aux téléspectateurs et la compagne de Raphaël Glucksmann est souvent pointée du doigt.

En effet, c’est bien elle qui a demandé maladroitement à Marion Cotillard, « Comment allez-vous ?« , en référence à sa récente rupture avec Guillaume Canet. C’est elle aussi qui a commis une grave erreur dans son édition du 13 octobre. Au même titre que son confrère Julian Bugier, cette dernière a confondu les circonstances de l’assassinat des enseignants Dominique Bernard et Samuel Paty.

Toutefois, la Libanaise n’est pas à l’origine de tous les couacs du JT. En effet, ce 14 octobre, c’est son invité en plateau qui a fait une gaffe monumentale. Jean-Pierre Farandou est venu parler du gouvernement fraîchement nommé par le Premier ministre Sébastien Lecornu. Malheureusement, les mots du ministre du Travail et des Solidarités ont, semblent-ils, dépassé sa pensée.

Léa Salamé : le ministre du Travail et des Solidarités dérape en plein direct sur France 2

L’entretien a eu lieu en toute fin d’édition. Léa Salamé a alors présenté son invité comme étant une des nominations « surprise » du nouveau gouvernement formé par Sébastien Lecornu. Par ailleurs, l’ex complice de Nicolas Demorand a précisé qu’il s’agissait là de « sa première prise de parole depuis sa prise de fonction« . Une prise de parole qui ne s’est pas déroulée comme prévu pour l’ancien patron de la SNCF.

En effet, interrogé par Léa Salamé sur la suspension de la réforme des retraites, le ministre a alors lâché : « On n’est pas sourds, on n’est pas autistes, on voit bien qu’elle passe mal cette réforme ». Une formulation ultra-maladroite qui a évidemment enflammé les réseaux sociaux. Anonymes, élus sont alors montés au créneau. « Ce n’est pas une maladresse, c’est du mépris validiste répugnant. Indigne et inacceptable« , Jean-Pierre Farandou « déverse déjà dans l’handiphobie et le validisme« , « Autiste n’est pas une insulte« , a-t-on pu lire notamment.

Face au tollé général, le ministre du Travail et des Solidarités a alors pris la parole dans la soirée. « En utilisant le terme d’autiste, mes propos ont blessé et ce n’était pas mon intention. J’en suis sincèrement désolé et je présente mes excuses« , a-t-il écrit sur X. Cela suffira-t-il à éteindre l’incendie ?

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