Résumé
Maeva Martinez revient sur une enfance marquée par la précarité et la dépendance de sa mère aux jeux d’argent, révélant des conditions de vie difficiles et une relation complexe.
Sommaire
Sur les réseaux sociaux, les influenceurs partagent souvent les moments les plus flatteurs de leur vie. Pourtant, derrière les clichés soignés et les voyages de rêve, la réalité est parfois bien plus sombre. Maeva Martinez, devenue célèbre grâce à sa participation à La Villa des Cœurs Brisés 3, en sait quelque chose.
Invitée dans le dernier épisode de Toute la vérité avec Giuseppa sur M6+, elle s’est livrée avec sincérité sur son enfance difficile.
Maeva Martinez : « Pas d’électricité, pas d’eau chaude, pas de frigo… »
« Il y a plein de choses que je voudrais changer« , a confié Maeva devant les caméras de la Six avant d’avouer que la situation avec sa mère était particulièrement « compliquée. »
Cette dernière avait visiblement une « personnalité » difficile. « Elle était un peu rebelle, n’aimait pas travailler, addict aux jeux d’argent, très instable« , a précisé la jeune femme.
Selon elle, toute cette négativité aurait eu « des répercussions » sur son enfance : « Comme le fait qu’on ne mangeait pas à notre faim, qu’on ne s’habillait pas. (…) Pas de vacances, pas d’électricité, parfois pas d’eau chaude, pas de frigo, pas trop de nourriture. On mangeait des boîtes de thon le matin avant de partir parce qu’il faut bien mettre quelque chose dans l’estomac, on allait demander des pâtes ou du lait à la voisine pour la 50e fois du mois…«
« On a été à la rue, puis on a vécu dans un grenier insalubre« , a ajouté Maeva qui assure également, dans un commentaire publié sous un extrait de l’interview mis en ligne sur le compte Instagram de M6+, n’avoir pas été en mesure de tout expliquer en détail, notamment au sujet de sa mère, avec qui elle a eu une relation compliquée, douloureuse et parfois absente.
La candidate a tout pardonné
Après des années de silence, Maeva Martinez a tout de même réussi à renouer le dialogue avec sa mère. Il y a un an, grâce à un important travail personnel, elle a d’ailleurs pu lui pardonner.
« Ma mère et moi étions très fusionnelles. Elle m’aimait profondément, mais elle ne savait pas toujours comment prendre soin de moi« , a-t-elle conclu. De douloureuses déclarations.
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