« On l’appelle Cheeta ou Mowgli », Amandine Pellissard fond en larmes en pleine interview en dévoilant les affreux surnoms donnés à sa petite dernière




Résumé

En larmes, Amandine Pellissard s’est confiée à Sam Zirah sur le harcèlement qu’elle subie depuis son passage dans l’émission « Familles XXL » sur TF1.

Sommaire

C’est un programme familial qui a été diffusé la première fois sur TF1 en 2020. Dans « Familles nombreuses : la vie en XXL », les téléspectateurs ont ainsi pu découvrir au fil du temps le quotidien de soixante familles. La plus nombreuse d’entre elles est la famille Nguyen avec 12 enfants et celle dont la notoriété a grimpé en flèche est la famille Pellissard. Lors de leur première participation Amandine et Alexandre étaient les parents de huit enfants. Désormais, ils en ont neuf.

Exposé médiatiquement, le couple a profité de cette notoriété soudaine pour se lancer sur les réseaux sociaux : placement de produits, contenu érotique, etc. Malheureusement, si certains internautes se sont abonnés à leurs comptes par affection, d’autres préfèrent les « suivre » pour les dénigrer. Ainsi, que ce soit sur Internet ou dans la vraie vie, le quotidien des Pellissard est devenu un cauchemar. Invitée de l’émission « En toute intimité » par Sam Zirah sur Youtube, la mère de famille a alors raconté l’inimaginable.

Tout d’abord, Amandine a parlé de sa petite dernière Maéna. Sa « vaillante » comme elle l’appelle est née prématurée à cinq mois et demi de grossesse. Un immense traumatisme pour la jeune femme originaire du Gard. Alors que son bébé marche à peine, elle est déjà la cible de haters. « On l’appelle Cheeta ou Mowgli. On traite mon bébé d’attardée, de handicapée alors qu’elle ne l’est pas du tout » raconte sa maman en larmes, elle qui a un petit garçon en situation de handicap.

Amandine Pellissard : des haters jusqu’aux portes de l’école

Lors de cet entretien avec Sam Zirah, dont la seconde partie a été dévoilée ce 22 juin, Amandine Pellissard s’est alors confiée sur ce “harcèlement de meute” qu’elle subit avec son mari et ses enfants. Un harcèlement émanant d’une dizaine de personnes qui communiquent via un groupe Whatsapp et dont “un monsieur” serait à l’origine. “Le but ultime c’est que je me suicide” assure la compagne d’Alexandre qui se charge de faire quotidiennement des captures d’écrans des messages de haine reçus afin de les transmettre à ses avocats.

D’autant que son enfer ne s’arrête pas là ! L’adresse de l’école de ses enfants a été divulguée tout comme l’adresse mail du directeur. Mails en pagaille, appels intempestifs,… Ce dernier a dû débrancher son téléphone car « il n’en pouvait plus« , raconte Amandine Pellissard démunie. “On veut me voir à terre, tout me faire sauter : m’enlever mes enfants, me faire perdre mon travail, faire péter mon couple et me donner envie de décéder”, assure celle qui rêve désormais d’une nouvelle vie en Espagne.

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