
En mai dernier, Jacques Legros quittait le JT de TF1 cédant sa place à Isabelle Ithurburu. Un départ volontaire pour prendre du recul, se mettre « au calme loin de Paris » et « se reposer » avait-il alors confié. Toutefois, dans les colonnes de Ouest-France, le journaliste de 74 ans n’avait pas caché son envie de « refaire de la radio« . Un appel du pied qui a été entendu. En effet, à la rentrée, ce dernier a fait ses premiers pas dans l’émission Estelle Midi sur RMC.
Ce 7 novembre, plusieurs sujets ont été abordés par l’équipe qui s’est notamment posée cette question en marge de la treizième édition du Salon du Made in France : Made in France : prêts à payer plus cher pour consommer français ? Un débat de 20 minutes au cours duquel les journalistes de l’émission ont révélé que les Français adoreraient se mettre au Made in France. Toutefois, ils sont freinés par les tarifs proposés.
C’est alors que Jacques Legros a été interrogé sur ses habitudes de consommation. Fait-il attention à ce qu’il achète ? « Oui mais sans garantie que ce soit toujours mieux. Ce n’est pas une preuve Made in France » a assuré le Nordiste avant de faire une confidence à ses camarades.
🇫🇷 Payer plus pour consommer français ?
🎙️ Jacques Legros : « J’ai fait une expérience. Je me suis donné un budget de 100€, j’ai commandé sur Shein ! J’en avais, je ne savais plus où les mettre ! Je les ai lavés pour voir la résistance, c’est quand même pas mal »#EstelleMidi pic.twitter.com/BA8MU9Ly4q
— Estelle Midi (@EstelleMidi) November 7, 2025
Jacques Legros : sa drôle d’expérience avec son épouse
Alors que la première boutique Shein s’est installée au BHV à Paris ces derniers jours et que l’enseigne est au cœur de plusieurs polémiques, le professionnel de l’info et son épouse Valérie ont souhaité faire « une expérience« . Le septuagénaire qui semble avoir de la suite dans les idées a alors confié : « On s’est donné un budget de 100 euros et on a commandé sur Shein« . Pourtant outré par les méthodes du géant chinois, le couple a voulu découvrir ce que propose la marque et voir de ses propres yeux les produits vendus sur leur site.
Résultat ? Ils ont « acheté pour 100 euros (de vêtements, N.D.L.R.). On ne savait plus où les mettre ! On les a lavés pour voir la résistance des produits. Bah, c’est quand même pas mal« , a-t-il ajouté. Du coup, le prédécesseur d’Isabelle Ithurburu comprend mieux les adeptes de Shein. « On peut comprendre des jeunes et des gens qui ont peu de moyens. Faut pas leur jeter la pierre. On peut comprendre qu’ils se tournent vers des plateformes comme Shein car ils vont pouvoir acheter des choses« , a-t-il ajouté tout en mettant en garde face à la « surconsommation« .
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