Arthur et Mareva Galanter : la descente aux enfers




Résumé

Après l’attentat meurtrier du 7 octobre 2023, Arthur a décidé de se confier dans un livre intitulé « J’ai perdu un Bédouin dans Paris » (Grasset).

Sommaire

Il y a 26 ans, la vie de Mareva Galanter a basculé. Élue Miss France 1999, ce sacre lui a ouvert bien des portes et sans doute permis de rencontrer dans la foulée l’homme de sa vie, celui qui allait devenir son mari et le père de ses enfants. Cet homme, c’est Arthur. En 2015, tous les deux sont devenus les heureux parents d’une petite fille prénommée Manava avant de se dire « oui » le 3 août 2017 à Bora-Bora alors que la sublime brune est née en Polynésie.

« Oui » pour le meilleur et pour le pire. Depuis toutes ces années, le couple a sans doute été confronté à de multiples épreuves. Ainsi, nul doute qu’Arthur a pu compter sur le soutien des siens le 7 octobre 2023 lorsque 1 218 personnes ont été tuées par les commandos terroristes du Hamas. Depuis, cette « date hante nos mémoires«  assure le présentateur TV de TF1 également producteur. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien qu’il a choisi ce jour pour mener à bien un projet qui lui tient à cœur.

Ainsi, deux ans après cette attaque meurtrière, l’homme de 59 ans dévoilera son premier roman le 7 octobre prochain. Alors que le jour J approche, Arthur s’est emparé de son compte Instagram pour dévoiler les raisons qui l’ont poussé à se mettre à l’écriture. Un message poignant écrit par celui qui estime être devenu « une voix«  depuis deux ans. En revanche, cette fois, ce n’est pas l’animateur boute-en-train qui a décidé de prendre la parole mais bien Arthur Essebag.

Arthur et Mareva Galanter unis face au pire

Dans ce livre confession, Arthur a décidé de revenir sur un événement peu réjouissant ; à savoir l’attentat du 7 octobre perpétré par le Hamas. « En octobre, mon premier livre paraît chez Grasset. La date ? Nul besoin de l’écrire : elle hante nos mémoires… », a-t-il écrit dans une première publication avant d’en dire plus sur ce nouveau projet. « Je m’appelle Arthur Essebag. Depuis toujours, je vous divertis à la télévision. Je ne vous ai jamais parlé d’autre chose, car j’ai toujours considéré que ce n’était pas mon rôle« , a-t-il d’abord confié.

Mais, après ce 7 octobre et « le plus grand massacre de Juifs depuis la Shoah« , l’animateur de « Vendredi, tout est permis » a décidé de sortir du cadre. « Ce fut une bascule, une descente aux enfers où j’ai entraîné ma famille, mes proches, dans une apnée interminable. Je voyais dans leurs yeux ma peur reflétée, ma colère, mon impuissance« , a-t-il ajouté.

« Et j’ai écrit. Parce que je n’avais plus d’air. Pour survivre. Pour transformer la douleur en action« , a-t-il poursuivi. « De mes voyages en Israël, sous les missiles du Hamas, de mes amis perdus et de ceux retrouvés, entre les larmes et les rires, est né ce livre », a-t-il conclu. Un message poignant.

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